BIOGRAPHIE

Arielle Beck

ARIELLE BECK EST DOUÉE D’UNE SENSIBILITÉ ET D’UNE MATURITÉ ARTISTIQUES SINGULIÈRES. CONSEILLÉE PAR STEPHEN KOVACEVICH DEPUIS SA NEUVIÈME ANNÉE, ELLE LAISSE PARLER SON SENS POLYPHONIQUE ET SON INSTINCT MUSICAL.


Elle se produit sur des scènes prestigieuses dont le Festival de La Roque d’Anthéron, le Piano symphonique de Lucerne, les Variations musicales de Tannay, les Sommets musicaux de Gstaad, le Festival Piano aux Jacobins de Toulouse, le Festival classique de Menton, le Circulo de Bellas Artes de Madrid, les Rencontres musicales d’Évian à la Grange au Lac, les Schubertiada de Vilabertran, le Festival de Musique de chambre d’Arcachon, les Pianos Folies du Touquet, la Vague classique à Six-Fours-les-Plages, les Folles Journées de Nantes et de Tokyo… En tant que soliste, elle est l’invitée de l’Orchestre national de Montpellier, l’Orchestre Philharmonique de Marseille, l’Orchestre national des Pays de la Loire, l’Orchestre Philharmonique de Nice, l’Orchestre Symphonique du Pays basque, l’Orchestre Symphonique de l’Aube, le Paris Mozart Orchestra, le Filharmonia Opolska (Pologne), l’Orchestre de chambre de Mannheim (Allemagne), The Academy of St Martin in the Fields à Londres, sous la baguette de Lionel Bringuier, Lawrence Foster, Claire Gibault, Léo Hussain, Paul Meyer, Chloé Meyzie, Gilles Millière, Jakub Montewka, Bruno Weil.

 

Née en 2009 à Paris, la jeune musicienne formée par Igor Lazko – élève de Yakov Zak – reçoit depuis 2023 l’enseignement de Claire Désert et Romano Pallottini au Conservatoire national supérieur de Musique et de Danse de Paris. En 2018, sa précocité était couronnée d’un Premier Grand Prix au concours international Jeune Chopin, présidé par Martha Argerich ; en 2024, elle reçoit le XXe Elba Festival Prize.

« Les dons d’Arielle émerveillent. Ses moyens pianistiques, évidemment, qui l’autorisent à se confronter à des partitions redoutables mais, surtout, sa maturité... Son sens polyphonique, son goût prononcé, toujours argumenté, pour les contrechants, séduisent, servis par un jeu d’une grande plénitude... Bien des bonheurs s’annoncent pour les auditeurs ».

Alain Cochard, Pianiste,
n° 143, novembre 2023